Présentation générale

Nom & prénom : Shigeru Kôhei
Âge : 20 ans
Faction : Kansei
Village ou Shogunat demandé : Taki no Kuni
Clan ou Capacité : Suiken - L'art de l'homme Ivre
Spécialité (Dans le cas d'un membre de l'Asahi ou du Kansei) : Taijutsu
Affinité (Dans le cas d'un membre de l'Asahi ou du Kansei) : Raïton

Histoire

Description
Shigeru Kôhei, un nom bien connu à travers les bars miteux et les restaurants, ce n'est pas une star mais l'homme est un consommateur de saké. Il en boit des tonnes, on le surnomme souvent l'un des huit immortels de Zui Quan. Un art oublié dont Kôhei a hérité. Il vagabonde à travers les rues avec sa gourde de Saké, chantant, grommelant des insultes et en titubant. Cet homme peut paraître comme un pauvre gars qui n'a aucun but dans la vie. Pourtant cet homme essaye de faire perdurer cet art ancien à travers son voyage. Initiant des jeunes ivrognes à son style de combat, l'homme adore enseigner, c'est une passion pour lui, c'est ainsi qui se démarque de nombreux hommes ivres. De plus d'être un très bon mentor, Shigeru Kôhei est un homme gourmand. Ingurgitant des tonnes de nourritures, malgré cela, l'homme garde son corps svelte et athlétique pour son art martiaux. Aucune once de graisse parcoure son corps, cependant, l'homme n'est pas une montagne de muscles. Agile comme un chat et rapide comme un singe, il adhère à un style rapide et dévastateur. Ces cheveux ténébreux, le jeune ivrogne a une gueule d'ange, ce qui déstabilise souvent les femmes qu'il rencontre. Un caractère qui ne s'allie pas à son physique. Un physique angélique pour une mentalité pleine de péché, ces longues heures à déguster ce liquide sucrée et alcoolisé, on ne pourrait pas croire ça d'un si beau jeune homme. Son aisance à sortir des insultes est incroyable, il a un débit d'insulte que personne ne pourrait battre. Ces jambes vacillantes, Kôhei mesure un mètre quatre vingt cinq, une personne plutôt grande. Sa tenue imbibait d'alcool, l'homme a un désir de luxure. Il s'habille plutôt bien et ces tenue vaut à peine un mois de mission à la suite. Un pêcheur a l'allure angélique.

Histoire
Que voit-on dans une rue de Taki complètement éméché, ce long filet de bave sur sa lèvre inférieur, sa gourde renversée sur le sol, une liquide transparent s'échappant de cette dernière ? Notre bon vieux Kôhei, le Vagabond de la faction Kansei, qui n'a pas trouvé d'endroit où dormir. Sa monture légendaire, un âne, qui s'est installé près de lui, le lèche progressivement tout le visage. Ces mouvements brusques, le jeune Shaolin est dans un rêve érotique et il ne voudrait pas qu'on le réveille. Pour un mentor du Zui Quan, ce n'est qu'une partie de ces nombreux péché qu'il exécute lors de son chemin. Quelques mots grommelaient par Kôhei " Sale bougre de shinobi à la con ". Il porte une certaine haine envers le ninja qui lui a foutu une bonne raclée hier soir. On remarque légèrement des légères brûlures sur ces mains et son t'shirt imbibé de son sang. Cet scène si inquiétante représente bien son parcours. Buvant, insultant, se bagarrant, il ne laisse que des mauvaises souvenirs aux bars qu'il rencontre sur sa route. L'homme a été éduqué comme ça et il ne pourra pas changer.

Un jour de pluie, un vieillard dont la caboche brille de mille cieux, s'aventure dans sa contrée à la recherche de jeunesse. Et apparemment, l'homme recherche un élève dont le talent serait supérieur au sien. Ces jambes vacillantes, le vieillard s'avance avec un équilibre alcoolisé. C'est à ce moment-là que Kôhei entre en scène, un petit garçon avec une énorme fougue, prend une garde maladroite, la posture du Cavalier pour être précis. Un ricanement, le vieillard donna un coup de bâton sur la tête de Kôhei. J'avais oublié de précisé, ce vieillard à la caboche brillante est le grand-père du jeune Shaolin. Les mains de Kôhei frottant son pauvre crâne, le Papy continua sa marche lente et alcoolisé. Un cri roque, le Shigeru, d'un pas course rapide, translatait de manière à frapper à une grande puissance. Le pied rencontra la paume du Papy Shaolin.

- Tu le sais bien Kôhei, tu n'a pas le niveau pour que je t'enseigne cet art martiaux. Tu n'arrive même pas à stabiliser la posture du Cavalier, alors que c'est la base du Taijutsu Shaolin. Tu reviendra quand tu aura le niveau, rejoins le monastère, je ne te dirais rien à Dan.

Les pleures de l'enfant, il retourna au monastère comme prévue. L'oncle de Kôhei, Shigeru Sensshô, un shaolin excellant dans le Taijutsu Shaolin, maîtrisant les dix posture de ce style. Un Mentor excellent pour ce jeune gamin, il n'avait pas les capacités pour l'avoir. C'est ainsi que le gamin fougueux commença à s’entraîner. Renforcer ces muscles, maîtriser chacune de ces articulations, avoir une défense impénétrable pour exposer moins souvent ces points vitaux et se forger une volonté pour tenir plus longtemps ces postures. Voici l'entrainement que Kôhei a fait pendant dix longues années. Des années qui passaient lentement, les diverses changements de climat, les Shaolins devaient s'y faire. Le garçon enchaînant les postures chaque année, permettant une meilleur maîtrise de ces dernières. Shigeru Kôhei avait acquis de bonnes bases. Ce jour tant attendu, la venue de Sensshô arrivait à grand pas. Kôhei allait lui montrer de quoi il était capable. Il avait oublié l'idée de suivre le chemin de son grand-père. Il excellait déjà dans son art, la posture de l'homme ivre. Il avait perfectionné cet position et avait acquis l'agilité d'un chat et la rapidité d'un singe. Il avait les capacités pour abattre son grand-père.

Le jour tant attendu, les deux hommes face à face, la gourde de saké à la main du gamin fougueux, il déversa le liquide dans son gosier. Pour obtenir ses mouvements peu précis, ses chutes volontaires, ses brusques changements de rythme, les pommettes du jeune homme commençaient à rougir. Il venait d'obtenir l'état parfait pour exécuter le Suiken et la posture de l'homme ivre. Ces pas rapides, l'échange de coups était beaucoup trop rapide. On faisait face à un combat rapide et puissance. La posture du Pas rasant contre celle de l'homme ivre, les chocs hallucinants, on sentait la dextérité des coups de chacun. Leur coups de paume aussi puissant qu'une tornade, le coup de pied aussi puissant qu'un katana, les hommes commençaient à s'épuiser. La Jeunesse n'allait pas gagner ce coup-ci, l’expérience allait se jouer dans ce combat.

Le changement de posture de la part du vieillard, la posture de La Grue, cette dernière est la plus offensive. La jambe tenu partait rapidement en direction du visage de Kôhei. Le sang giclait, le visage du gamin ensanglanté, il se levait difficilement. Un coup comme ça, on ne s'en sortait pas indemne. Le garçon passait sa manche sur sa blessure et se repositionna de façon à continuer le combat. Alors que le vieillard posa son popotin à terre, sortant de sa longue robe une gourde. Buvant le liquide transparent, un sourire se dressa sur son visage. Un sourire émanant une certaine fierté à l'égard de son petit fils, Kôhei le regardait, contractant ces muscles.

- Donnez lui notre plus belle monture, Kôhei, tu pars en quête de sagesse et faire perdurer notre art Shaolin. Je sais que tu en sera capable, tu me l'a montré dans ce combat. Tu n'a plus besoin de moi ni de ce monastère pour t'apprendre des techniques de combat. Bonne chance petit-fils ...

Lui balançant la gourde remplis de Saké, le vieillard se levait et continuait son chemin en direction du monastère. Un âne en guise de monture, Kôhei venait de prendre la route en quête de sagesse ou plutôt en quête d'alcool.

Malgré tout, il me manquait une certaine partie de ma formation que je ne pouvais pas avoir dans ce monastère. Voyez-vous, nous avions tous une certaine source d'énergie en nous: Le Chakra. Je l'utilisais peu souvent et je ne le contrôlais pas. Mon grand-père m'en avait parlé et c'est ça qui nous manquait, je le savais. C'est bien pour cela que je m'étais rendu dans l’Académie de Taki no Kuni pour avoir une certaine formation. Cependant, les Shaolins avaient une certaine haine contre les Shinobi, je ne sais pas pourquoi. Ce formation dura une année, une année de dur labeur. La concentration, le contrôle et la manipulation de cette énergie, j'avais tout appris. J'étais désormais un ninja du pays de la Cascade. Ma quête de sagesse n'était pas encore fini. Je ne cherchais qu'à apprendre et de plus, j'avais un moyen de me payer tout l'alcool que je voulais: Les Missions. J'en avais fait un nombre incalculable. De l’expérience, c'est ce qu'il me manquait. C'est pour cela que je les enchaînais. Buvant lors des missions, j'avais un style de Taijutsu que seul moi pouvait contrôler.

Qui dit Puissance, dit responsabilité ? Et Oui, grâce à mes missions effectuées, j'avais pu évoluer au sein du village. Ma renommée n'était d'ivrogne Shaolin Ninja se répandait rapidement. Je devenais quelqu'un de célèbre. Je pouvais répandre l'art du Shaolin à travers mes faits de Shinobi. J'avais trouvé la façon de perdurer mon art. Je ne pouvais que continuer à le faire.

Derrière l'ordinateur

Âge : 18 ans
Comment avez vous connu Shinobi Teikoku ? Via Nina '^'
Parrain : Kaguya Etsukazu
Remarques : Déjà dis